Introduction du Portfolio

Envisagé comme « vitrine » de la production scientifique du Gériico, son portfolio donne à voir quelques publications, événements et productions significatives de l’unité sur la période de référence (2018-2023). Les spécialistes du document, comme aussi de la communication, s’efforcent ici de traduire tout à la fois la diversité des travaux de l’unité et sa cohérence thématique.

L’intertextualité, concept central pour des chercheur.e.s adeptes de l’organisation des connaissances et de la sémio-pragmatique, opère ici comme mise en abîme de productions toujours rapportées à une pluralité d’objets et de formes, de terrains, de réseaux, d’épistémologies et de méthodes dont les « éléments choisis » constituent des spécimens et prennent valeur d’exemples. Ils réifient, par homothétie, les principales thématiques mises en exergue dans la présentation générale de l’unité.

Pour débuter ce portfolio, commençons par présenter La Journée Jeunes Chercheurs qui, à l’initiative des doctorants du Laboratoire Gériico, permet notamment de favoriser les échanges scientifiques entre les doctorants et jeunes chercheurs en SIC dans une atmosphère de confiance et d’apprentissage.

De l’avis même de ses doctorant.e.s, le Gériico est un laboratoire d’accueil, au sens plein du terme, et l’unité veille à leur bonne intégration en les associant étroitement à sa politique et à sa programmation scientifiques. Outre leur encadrement doctoral et leur accompagnement renforcé par le Comité de Suivi Individuel (CSI) (voir fiche de compte rendu des comités de suivi de Thèse - CSI- 2023-2024), les doctorant.e.s sont encouragé.e.s dans leur mobilité internationale, dans leur participation à des événements scientifiques et dans leur activité de publication. Outre les séminaires d’axes et de spécialité, auxquels s’ajoutent les séminaires de l’École doctorale SHS et du collège doctoral Hauts-de-France, les « jeunes chercheur.e.s » ont aussi « leur » journée : la « JJC ». En autonomie, ils et elles constituent chaque année leur comité d’organisation en charge de la programmation complète de l’événement (choix de la thématique, appel à communications, sélection des propositions, élaboration d’un programme, logistique, etc.) dans toutes ses dimensions scientifique, gestionnaire et logistique de cette journée.

Cette programmation rigoureuse mobilise à leur invitation des chercheurs confirmés extérieurs et internes à l’unité en leurs qualités respective de conférencier.ère.s et de discutant.e.s. Cet événement, connu et reconnu dans la communauté universitaire en France et à l’international, relève du rite initiatique où la rigueur scientifique se veut également bienveillante dans l’écoute et l’accompagnement des apprenti.e.s-chercheur.e.s. La JJC est un rite initiatique annuel dont même la crise sanitaire n’aura pas interrompu la programmation depuis 18 ans !

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Question plus générique que l’éthique du numérique, l’éthique de l’information s’intéresse aux biais par lesquels tous les systèmes, numériques ou non, organisent l’information en réponse à des utilisateurs : une bibliothèque, un moteur de recherche ou tout autre système informatique de traitement, d’analyse ou de stockage de l’information. C’est là un nouveau domaine de recherche auxquelles le Gériico a consacré, à Lille, sa Quatrième conférence internationale sur l’éthique de l’information et l’organisation des connaissances dont les actes sont désormais publiés. Au carrefour de l’épistémologie, de la métaphysique, de la logique, de la philosophie des sciences, de la sémantique et de l’éthique. À cet égard, les principaux sujets de préoccupation en matière d’éthique de l’information sont abordés dans de multiples rapports et injonctions paradoxales : censure versus liberté intellectuelle ; vie privée versus vie publique, confidentialité et protection des données ; propriété de l’information et utilisation commerciale d’informations publiques ; accès universel versus fracture numérique ; propriété intellectuelle au défi d’une utilisation équitable ; équilibre et partialité dans la diffusion d’information ; développement des collections et création de métadonnées.

S’agissant de l’organisation des connaissances, celle-ci désigne un processus dans lequel les dimensions éthiques sont intimement liées à la langue et à la culture. Les chercheur.e.s du Gériico s’attachent donc à inscrire l'éthique dans ses cadres culturels, linguistiques et sociaux. L'intérêt des communautés ISKO pour l'éthique dans l'organisation des connaissances trouve son origine dans les premières critiques des systèmes de classification (Olson 1999 ; 2002). Une grande partie de la critique porte ici sur le fait que ces systèmes n'offrent pas une représentation du langage et que leur structure modifie notre interprétation du langage d'une manière superflue ou fausse. Pour cette raison, les chercheur.e.s du Gériico s’attachent à prendre en compte le poids des cultures et des langues dans la conception des systèmes d’organisation des connaissances (SOC).

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Sciences (ouvertes) de l’information et de la communication, telles qu’elles se déploient au Gériico, les recherches de l’unité sont particulièrement sensibles au partage de données scientifiques et à la dissémination des résultats de recherche dans la sphère académique, comme aussi dans la société. La science ouverte désigne donc tout à la fois un objectif et un objet scientifiques de l’unité. Parmi les nombreuses publications recensées sur la période 2018-2024 et les réseaux dans lesquels s’inscrivent les travaux des chercheur.e.s, l’ouvrage co-dirigé en 2023 aux éditions ISTE sous le titre de « Partage et valorisation des données de recherche » est emblématique de l’expertise du Gériico en ce domaine.

En s’inscrivant dans la dynamique d’une politique publique nationale, elle-même relayée et traduite à l’échelle l’établissement, l’unité ne se contente pas de suivre un mouvement. Ses chercheur.e.s procèdent à un véritable travail de diagnostic, de modélisation et d’accompagnement, notamment dans le champ de la formation, comme en témoigne son implication aux côtés du Service Commun de la Documentation et de l’École doctorale de l’Université de Lille. En expérimentant et développant des modèles d’organisation et de diffusion des connaissances, son engagement précurseur dans le réseau HAL-Urfist témoigne d’une acuité scientifique avérée et reconnue dans ce domaine de recherche.

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Faisant suite à des travaux menés de longue date dans l’unité, d’autres recherches ont poursuivi l’exploration du rapport entre communication et territoire en partant du principe que, dans le cadre d’une perspective communicationnelle, le territoire implique d’être envisagé, parallèlement à son renvoi à l’espace, à partir de la question du discours par lequel il est rendu visible et reconnu, par lequel il existe en définitive. L’ouvrage proposé dans le portfolio, édité aux Presses du Septentrion et titré « Le territoire à l’épreuve de la communication », défend cette approche profondément anthropologique, phénoménologique et culturelle de ces « imaginaires territoriaux » construits par les discours. Plusieurs recherches lui font écho quand, par exemple, la ville de Roubaix devient sujet d’un reportage sur l’islam radical en France et interroge par son travail et ses effets de stigmatisation la « responsabilité sociale du journaliste ».

De même, une recherche engagée sur le territoire du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais explore et analyse sur la période 2017-2022 des représentations de ce territoire dans le discours de la presse régionale (La Voix du Nord). D’où ressortent, d’ores et déjà, plusieurs enseignements : traitement marginal des repères territoriaux du Bassin Minier, dénominations instituante (« le Bassin minier ») versus triviale (« bassin minier »), tension entre des articles et photographies participant d’une représentation péjorative et stigmatisante du territoire et d’autres à portée valorisante, voire esthétisante, et porteurs d’une mise en récit d’un territoire en transition, une place centrale occupée par certains lieux de condensation (Debarbieux, 1995 et 2010), dont les chevalements et cités ouvrières. S’en dégage aussi une forme d’ethos (Maingueneau, 2002 et 2014) de territoire quand le journal fait ressortir une sorte de « personnalité » du territoire doté de traits de caractères collectifs singuliers (courage, fierté, épreuves de la douleur et de l’injustice,etc.). 

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Issue d’une Habilitation à Diriger des Recherches (« La musique, le temps, le camp, faire du terrain en fermant les yeux »), soutenue en 2021, la chercheure contribue aux connaissances sur le rôle de la musique dans les situations de violence, sur les pratiques culturelles et médiatiques des personnes en transit ainsi qu’au champ plus vaste des border studies et alimente, en retour, différents projets de recherche. Les problématiques territoriales trouvent ici une autre traduction éditoriale, plus sensible à la médiation culturelle et artistique de celles et ceux qui, aux frontières de l’Europe, vivent l’exil sur des territoires d’infortune.

Prenant appui sur un travail de terrain amorcé dès 2015 auprès de personnes vivant sur le camp de Grande-Synthe (Nord), la démarche de recherche s’incarne dans un mémoire d’habilitation à diriger des recherches intitulée « La musique, le temps, le camp. Faire du terrain en fermant les yeux ». Tout en développant une problématique autour des thématiques de la frontière et du refuge, cette recherche met particulièrement l’accent sur deux autres notions structurantes : la violence et l’hospitalité. Il s’agit ainsi d’étudier la manière dont la violence est présente dans les terrains enquêtés et de porter l’attention sur la manière dont elle y est évoquée. Cette perspective est à la source d’une publication collective [à paraître], structurée autour d’une question conductrice : que peut la musique dans les situations de violence politique ? À travers la notion d’hospitalité, il s’agit d’interroger l’habitabilité des territoires, la qualité des espaces publics, leur ouverture (ou pas) à la diversité des présences. La réalisation d’un travail structurant autour de cette notion permet de renouveler les approches tant des territoires, des dispositifs socio-techniques de médiation de la musique, que plus largement des mondes sociaux de la culture.

Ce concept, problématique, permet de garder un tranchant critique, de continuer à travailler les dimensions hégémoniques des mondes de la culture, tout en ouvrant une manière renouvelée de les considérer. La recherche réalisée conduit également à prendre en considération les articulations entre hospitalité et inclusivité, à intégrer la question du genre, du handicap et des racismes dans un même mouvement et à rencontrer les problématiques contemporaines des mondes de la culture en transition. De manière tout aussi spécifique, elle permet de proposer des recherches dans des espaces publics de territoires particuliers marqués par des politiques et dispositifs de « frontiérisation » et de structurer les travaux autour des questions musicales et plus largement des sound studies travaillées par plusieurs chercheur.es du laboratoire.

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Si intervenir, c’est prendre part à une action, comment y prendre part effectivement ? À quel titre et pour quelle(s) visée(s) ? Entre pôle scientifique et pôle praxéologique, comment la production de connaissances peut-elle composer avec une « demande » ou une « commande » dont la résolution de problème constitue la visée téléologique première ? Et quelle place accorder à la recherche dans un foisonnement de « problématiques » souvent réduites aux temporalités et attendus de l’étude ? Les chercheur.e.s du Gériico ont largement contribué à éclairer ce questionnement et la co-direction d’un dossier dédié à « l’intervention en organisation » dans la revue Communication & Organisation en 2022 témoigne d’une préoccupation qui traverse la communauté scientifique et, singulièrement, la recherche en communication organisationnelle.

La recherche-action, « conçue comme un outil de travail permettant de faire participer à l’analyse savante et/ou à l’évaluation de leurs résultats les membres d’une organisation donnée » (Meyer 2006) est-elle compatible avec une démarche scientifique selon laquelle les tenants conceptuels et méthodologiques des résultats et de leur analyse supposent aussi qu’ils soient accessibles à d’autres chercheurs et, ce faisant, réfutables ? L’objectif est ici d’ouvrir le débat sur les modes d’intervention et ce qu’ils produisent comme effets sur la production du savoir scientifique, sur la posture du chercheur, sur la manière dont les sciences de l’information et de la communication peuvent prétendre « intervenir » dans les organisations sans se départir de la critique comme condition d’accomplissement de la recherche au Gériico.

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Food information, communication and education analyse le rôle de différents médias et médiateurs dans la production et la transformation des savoirs sur l'alimentation. A travers une série d'études de cas européennes, cet ouvrage collectif interdisciplinaire permet de mieux comprendre les processus de création, de médiatisation, de circulation et de réception des savoirs sur l'alimentation dans des environnements sociaux déterminés. En étudiant diverses facettes de la trivialisation des savoirs sur l'alimentation, les contributions rassemblées dans ce volume mettent en évidence les enjeux politiques et idéologiques de l'information, de la communication et de l'éducation à l'alimentation. Cette publication, issue du colloque international L’alimentation en savoirs, est significative des travaux menés au sein de Gériico visant à fournir de nouvelles connaissances sur la circulation de savoirs sur l’alimentation dans les organisations (école, université, entreprise) et dans les environnements numériques, sur la communication publique sur l’alimentation et nutrition santé, sur les mutations des stratégies communicationnelles des entreprises agro-alimentaires.

Ces travaux analysent la conception, diffusion et appropriation de dispositifs d'info-communication (campagnes de sensibilisation, dispositifs imprimés et numériques, manuels scolaires, documents audiovisuels, applications mobiles...). Depuis 2018, le Gériico a organisé́ plusieurs manifestations scientifiques (deux journées d’étude, un cycle de séminaires et trois workshops) qui ont permis d’explorer la publicisation de l’alimentation par l’agir citoyen, de comprendre la place de l’info-communication dans des contextes de vulnérabilité alimentaire et d'approfondir la compréhension du rôle des dispositifs numériques dans le domaine de l'alimentation. Ces travaux participent à des dynamiques fédératives réunissant des chercheur.e.s qui s'intéressent aux enjeux info-communicationnels de l'alimentation au niveau national (association AGAP Alimentation, Gastronomie et Analyse des Pratiques communicationnelles) et international (colloque international bi-annuel Food & Communication).

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L’Éducation aux Médias et à l’Information (EMI), pas plus que la science ouverte, ne constitue une « chasse gardée » du Gériico. Et c’est précisément pourquoi les chercheur.e.s investi.e.s dans ce domaine scientifique peuvent compter sur un réseau inter-disciplinaire et inter-professionnel qui, nationalement et localement, permet à l’analyse scientifique de prendre appui sur l’expérience éducative située. Les partenariats développés avec les professionnels des médias et de l’information (journalistes), comme aussi avec les acteurs de l’éducation et de l’action sociale, ouvrent sur des recherches-développement dont la création d’un serious game constitue un bon exemple. Au demeurant, l’innovation technologique et ludo-pédagogique dont procède Newscraft ne se résume pas la matérialité du seul jeu. Elle suppose aussi un dispositif complet d’accompagnement dont le livret pédagogique constitue l’un des supports.

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Excellent exemple de « recherche-action » et, ce faisant, d’intervention dans son territoire, le Gériico développe ici une démarche et une méthodologie de recherche scientifique visant à mener en parallèle et de manière intriquée l'acquisition de connaissances scientifiques et des actions concrètes et transformatrices sur le terrain. Au titre du Programme d’Investissement d’Avenir (PIA) « Jeunesse », le Gériico accompagne la MEL dans le déploiement de plus de 35 actions à destination des jeunes métropolitains de 13 à 30 ans. Villes, associations, missions locales, maisons de quartiers, coopératives, centres sociaux, fondations, etc. travaillent en réseau à l'amélioration de l'accompagnement des jeunes métropolitains. Les actions sont classées en différentes catégories permettant de répondre de la manière la plus complète aux besoins des jeunes : (1) développer les circuits courts de mise à l’emploi ; (2) encourager les mobilités locales et internationales ; (3) favoriser l’engagement citoyen des jeunes ; (4) accompagner les pratiques numériques des jeunes ; (5) coordonner l’offre en direction des jeunes et fluidifier les parcours.

L’unité contribue aux actions de coordinations, notamment à travers un travail de cartographie des acteurs permettant une analyse diachronique de l’impact du projet sur les actions de terrain et sur les politiques publiques jeunesse à différentes échelles territoriales. Les membres de l’unité contribuent également aux actions concernant les pratiques numériques des jeunes, notamment dans l’accompagnement des centres sociaux à la structuration de leurs actions, ainsi que dans la conception et la réalisation d’un « parcours numérique de territoire » pour les élèves de 6éme et 5ème de la Métropole (dans et hors temps scolaire) à partir d’approches pédagogiques “par le faire”, incitant à la pratique et à la création de contenus liés au numérique. Il s’agit de s’adresser à la fois aux professionnels (éducateurs, enseignants…), mais aussi aux institutions dans lesquelles ils exercent afin d’ancrer territorialement le dispositif dans un réseau d’acteurs proches du terrain.

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Objet-terrain emblématique de la recherche au Gériico depuis 25 ans, le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais a été exploité pendant près de 300 ans, entre 1720 et le 21 décembre 1990, date de la remontée de la dernière gaillette. Alors que les années 1990 sont marquées par un désintérêt voire par la volonté d’effacer les traces du passé, les années 2000 se caractérisent par une prise de conscience progressive de sauvegarder le patrimoine industriel qui aboutit en 2012 à l’inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO de 353 éléments sur 109 sites. La problématique générale du projet MémoMines porte sur la conservation de faits ou d’événements constituant un patrimoine culturel souvent proches de la disparition (endangered cultural heritage) : elle traite en particulier de la sauvegarde des mémoires individuelles par leur conversion en traces mémorielles, de leur mise à disposition sous forme de corpus d’archives numériques accessibles à tous, de leur remédiatisation pour des usages sociaux circonscrits, et de leur mise en scène/installation (trans-médiatique) dans le cadre de lieux de mémoire dédiés.

Le projet MémoMines comprend la recherche fondamentale, la conception et la réalisation de dispositifs innovants et leur évaluation en situation d’usage. L’ensemble de la problématique, traitée et analysée dans une perspective interdisciplinaire (sciences de l’information et de la communication, sciences du langage, muséologie, informatique), est appliquée dans le cadre spécifique de la mémoire de la mine.

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Avec le projet ResPaDon (Réseau de Partenaires pour l’analyse et l’exploration de données numériques), le Gériico se reconnaît parfaitement dans son périmètre de compétences et de questionnement : les usages par les chercheurs des archives du web collectées et conservées par la Bibliothèque nationale de France. Soutenu par le GIS CollEx-Persée, le projet Respadon est porté par l’Université de Lille et la Bibliothèque nationale de France, en partenariat avec Sciences Po Paris et le Campus Condorcet. Il mobilise les équipes de recherche du Medialab et le laboratoire Gériico. Constitué autour d’un premier noyau d’établissements de l’ESR, il s’appuie sur les initiatives prises par ces établissements en matière de services à la recherche pour favoriser le développement d’expérimentations. En procédant de manière itérative avec les équipes de recherche et les personnels d’appui à la recherche des bibliothèques, le projet ResPaDon doit contribuer à faire émerger une dynamique inter-établissement, où les collections numériques et les services aux chercheurs proposés par la BnF viennent enrichir l’offre des établissements documentaires de l’ESR en direction de leurs communautés scientifiques.

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